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Rencontre d’échange entre l’Agence Française de Développement (AFD) et la Direction Générale de la Décentralisation et du Développement Local (DGDDL).

25 novembre 2015

Le Directeur Général de la Décentralisation et du Développement Local, le Préfet Parfait Gohourou, a reçu en audience le mercredi 25 novembre 2015 à son cabinet, sis au Plateau, une délégation de l’Agence Française de Développement (AFD) conduite par Monsieur Luc le Cabellec, Directeur Adjoint du Département des Appuis Transversaux, et qui comprenait également Monsieur Olivier Pannitier, Directeur Adjoint à l’Agence d’Abidjan.

Après les civilités d’usage, Monsieur Olivier Pannetier de présenter la délégation ainsi que l’objet de la présence de celle-ci en Côte d’Ivoire.

Il a indiqué, à cet effet, que la mission de l’AFD vient exposer les fruits de ses réflexions dans le cadre de la coopération française, notamment les nouvelles orientations qui seront en vigueur incessamment.

A sa suite, Monsieur Luc le Cabellec a fait connaître qu’il s’agit d’une mission exploratoire et de préparation annonçant une réforme de la coopération qui prend effet à compter de 2016.

Il a ajouté que, suite au transfert de la gouvernance à l’AFD par le Ministre des Affaires Etrangères français, les principales missions de cette Agence restent les appuis aux projets ainsi qu’aux politiques sectorielles et budgétaires.

Monsieur Luc le Cabellec a relevé que les modalités de ce transfert sont attendues pour décembre 2015 et que ce transfert vise à rationnaliser la coopération, elle s’applique également à l’ensemble du réseau AFD en Afrique.

Il a rassuré la délégation ivoirienne quant à la préservation des acquis antérieurs notamment dans le cadre du Contrat de Développement et de Désendettement (C2D) avec la France.

Au terme des échanges, le Préfet Parfait Gohourou a plaidé pour le maintien du dispositif de coopération actuel entre la France et la Côte d’Ivoire relativement à la décentralisation.

Il s’est réjoui de la qualité de la coopération avant d’indiquer que la décentralisation ivoirienne a besoin d’accompagnement.